Il invite à faire en sorte que maisons, immeubles et monuments publics puissent encore accueillir les martinets, tandis que la destruction des nids provoque des drames aussi invisibles par nous que cruels pour ces oiseaux migrateurs. Adapter notre architecture à leur mode de vie est une condition essentielle pour la survie de ces infatigables acrobates du ciel qui égaient nos étés. Edition francophone de “Dove i rondoni vanno a dormire”